2 réponses
  1. Gregoire Quartier
    Gregoire Quartier dit :

    Bon… En gros ce sont des solutions bien sommaires.

    Quid de la distance toujours plus grande pour aller à son travail? Quid de la libéralisation des voix de chemins de fer qui font fermer les lignes non rentables? Quid de l’effet rebond du co-voiturage? Quid de l’électricité au charbon de la Pologne que la France subventionne pour la fabrication des batteries?

    C’est très caricatural de dire « Made in China = Made in charbon » quand en Europe on ne fait pas beaucoup mieux.

    Egalement, miser sur le nucléaire, c’est aussi miser sur un type de société qui n’est pas durable. Aucune société vraiment durable n’a développé de nucléaire, et le nucléaire n’aura jamais la capacité pour remplacer les autres énergies.

    Donc pour moi ce genre de graphique n’est qu’une négociation avec le réel, en attendant la prochaine crise qui fera son oeuvre. On préfère attendre que la Terre provoque les crises, au lieu de les anticiper… C’est un peu fataliste et pas très courageux.

  2. Rabret
    Rabret dit :

    Bonjour, diverses choses qui me viennent à l’esprit : des loyers devenus inaccessibles aux classes populaires et moyennes dans les grandes villes, obligeant les personnes à s’éloigner des bassins d’emplois, l’absence de maillage périurbain et rural d’un réseau de transports en commun réguliers et suffisant, des marges de progrès énormes pour l’intemporalité (le simple fait de voyager dans le train avec son vélo est souvent compliqué) et enfin la structuration de l’espace public autour de la voiture qui la priorise en tant que mode de déplacement

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