4 réponses
  1. Rémi Laffitte
    Rémi Laffitte dit :

    Merci d’indiquer les temps auxquels vous prenez la parole dans les vidéos car les autres intervenants sont imbuvables.

  2. BA
    BA dit :

    La construction européenne est anti-sociale.

    La construction européenne est anti-populaire.

    La construction européenne est anti-démocratique.

    La Banque Centrale Européenne est une citadelle anti-démocratique, comme l’était aussi la Bastille.

    Toutes les institutions européennes (BCE, Commission européenne, Parlement européen) sont anti-sociales, anti-populaires, anti-démocratiques.

    Les peuples en colère les détruiront, comme les peuples en colère ont détruit la Bastille.

    Et il ne restera plus rien de toute cette pourriture européenne.

    Lisez cet article exceptionnel de Romaric Godin :

    La BCE a bien exercé un chantage sur le gouvernement irlandais en 2010.

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20141106trib0176679ee/la-bce-a-bien-exerce-un-chantage-sur-le-gouvernement-irlandais-en-2010.html

  3. BA
    BA dit :

    Mais où est passé Jean-Claude Juncker ?

    Réponse :

    il évite les journalistes.

    Il se cache.

    Vendredi 7 novembre 2014 :

    Scandale fiscal « LuxLeaks » : Jean-Claude Juncker esquive, l’Europe vacille.

    C’était censé être le gros événement de la journée à Bruxelles : le dialogue entre Jacques Delors et Jean-Claude Juncker. Un face-à-face entre deux présidents de la Commission qui connaissent par cœur les arcanes de la politique européenne.
     
    Malheureusement, Jean-Claude Juncker a fait faux-bond, et en plus pour de mauvaises raisons. Lui qui nous avait habitué à un certain panache depuis sa prise de fonction, le voilà englué dans l’affaire « LuxLeaks », une sombre histoire d’arrangements fiscaux made in Luxembourg.
     
    Au lieu de faire face, il a choisi le silence.
     
    Il est inutile de dpréciser que cela fait les gorges chaudes à Bruxelles. Au palais Bozar où se déroulent les Journées de Bruxelles organisées par « L’Obs », « Le Soir » et « Le Standard », tout le monde y est allé de son commentaire. Une dame attendant une conférence y allait de son « il n’y a pas de fumée sans feu, surtout quand on ne cherche pas à arrêter le feu ».
     
    Chez les organisateurs, une forte amertume pointait. Après des semaines d’organisation, ce qui devait être une des grandes rencontres de l’année sur l’Europe a été annulée d’un coup. Meilleure preuve de la légèreté avec laquelle Jean-Claude Juncker s’est fendu d’une lettre d’excuse dans l’après-midi. Un président de la Commission qui s’excuse d’avoir annulé une conférence, et qui le fait savoir, voilà quelque chose de peu courant tout de même.
     
    Certes, nous avons eu à la place un flamboyant Guy Verhofstadt en remplaçant de luxe. L’ancien Premier ministre belge sait comment faire rêver un public qui n’attendait qu’une chose : qu’on ne s’excuse pas de vouloir faire l’Europe.
     
    Mais Jean-Claude Juncker qui esquive, c’est l’Europe qui vacille. Parce que si le chef de l’exécutif n’est plus là, c’est la Commission qui devient faible. 
     
    C’est un cadeau fait aux chefs d’Etats et de gouvernements bousculés ces derniers jours par le président de la Commission. David Cameron et Matteo Renzi vont avoir beau jeu de dire à Jean-Claude Juncker de baisser d’un ton et de ne plus venir les embêter.

    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1273384-scandale-fiscal-luxleaks-jean-claude-juncker-esquive-l-europe-vacille.html

  4. BA
    BA dit :

    Est-ce que quelqu’un a des nouvelles de Jean-Claude Juncker ?

    Jean-Claude Juncker a disparu.

    Il n’accorde plus aucune interview, il fuit les journalistes, il évite toutes les caméras de télévision, il annule au dernier moment sa participation aux Journées de Bruxelles, etc. Bref, il se cache.

    Et, toujours aussi courageux, il laisse son porte-parole Margaritis Schinas affronter les questions des journalistes sur le scandale Luxleaks.

    Résultat : son porte-parole ne sait pas quoi répondre.

    Son porte-parole ne fait que répéter comme un robot : « M. Juncker est le président de la Commission européenne. Ceux qui doivent fournir les réponses, toutes les réponses, ce sont les autorités luxembourgeoises. »

    Jusqu’à quand Jean-Claude Juncker refusera de s’expliquer sur le scandale Luxleaks ?

    Jusqu’à quand Jean-Claude Juncker se cachera ?

    Lisez cet article :

    Luxleaks : le porte-parole de Juncker refuse d’évoquer son rôle en tant que Premier Ministre du Luxembourg.

    La révélation par la presse de centaines de rulings fiscaux luxembourgeois controversés met dans l’embarras Jean-Claude Juncker, l’ancien Premier ministre du Grand-Duché, qui vient de prendre ses fonctions de président de la Commission européenne. Pressé de questions des journalistes européens jeudi midi, son porte-parole Margaritis Schinas a botté en touche.

    Interrogé sur son rôle dans la mise en place du système fiscal qui a permis à de nombreuses multinationales et familles fortunées d’obtenir des taux d’imposition favorables, le porte-parole de Jean-Claude Juncker a renvoyé la balle aux autorités luxembourgeoises actuelles. «  M. Juncker est le président de la Commission européenne », a-t-il répété inlassablement. Il a également refusé d’indiquer si le nouveau président de la Commission apporterait des éléments d’information dans le cadre de l’enquête que coordonnent ses services contre un certain nombre de rulings. «  Ceux qui doivent fournir les réponses, toutes les réponses, ce sont les autorités luxembourgeoises  », a-t-il dit.

    Le nouveau président de la Commission a par ailleurs annulé sa participation aux Journées de Bruxelles.

    http://www.lesoir.be/700706/article/actualite/fil-info/fil-info-economie/2014-11-06/luxleaks-porte-parole-juncker-refuse-d-evoquer-son-role-en-tant-q

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